Laura est une femme marquée par la vie, elle a 42 ans (même si elle ne les fait pas), c’est une femme admirable qui n’a d’yeux que pour ses enfants. Ils sont ce qu’il lui est arrivé de mieux dans la vie.
C’est aussi une femme mariée, tout n’est pas rose tous les jours, mais elle s’en accommode tant bien que mal dans l’espoir que cela aille mieux un jour, parfois elle aspire juste à un peu plus de simplicité, mais la vie comporte son lot de problèmes. Son travail possède aussi son lot d’exigences et cela est parfois difficile de tout allier sans causer d’autres désagréments d’un coté comme de l’autre.
Elle est croyante et cette foi fait d’elle quelqu’un qui déborde d’amour et qui a un coeur énorme. Elle est ce genre de personne qui ne calcul pas ce genre de chose, et qui vous rends tout l’amour que vous lui apportez au centuple.
Elle est aussi capable de faiblesses, parce que la personne parfaite n’existe pas, elle a aussi besoin de se sentir aimée, choyée, protégée, épaulée, en confiance pour donner le meilleur d’elle même.
Cette femme est une battante, avec un sourire et une attention qui vous remet du baume au coeur!! Physiquement c’est une femme mince, qui a des formes très attirantes, elle se maintient en forme en allant courir dès qu’elle en a l’occasion (ce qui lui a déjà occasionnée une chute sans grande gravité) et qui n’a rien à envier aux autres femmes; après c’est une femme donc elle se trouvera toujours des défauts. C’est une jolie femme, avec un regard très profond, qui sait l’utiliser à bon escient pour détendre l’atmosphère.
Son collègue Fabrice, lui est un quelqu’un d’assez introverti, qui lui aussi a été marqué par la vie et qui ne se fie pas à grand monde, il est marié et père de deux enfants, deux petits garçons, ils sont toute sa vie. Son couple n’est pas au beau fixe à cause d’une incartade (très passionnée) surement, certains diront que les tords sont partagés, mais au fond de lui il ne regrette rien. Il part du principe que tout ce qui arrive doit arriver et est une expérience de plus à emmagasiner, bonne ou mauvaise. Son « casement » est arrivé un peu précipitamment mais c’est aussi à l’image de sa vie. La passion nous réserve toujours des tours.
Il est jeune, 36 ans même si pour lui c’est déjà un certain âge si ce n’est un âge certain. Il peut tout de même se targuer d’une expérience certaine avec les femmes, qui le lui ont toujours bien rendu. C’est quelqu’un qui a besoin de frissons, de passion, d’énervement d’amour, d’être rassuré, d’être soutenu dans ce qu’il fait, qu’on le comprenne, des choses qu’il ne retrouve pas dans sa vie actuelle. Il en est même malheureux, mais pourquoi se plaindre ? il attend lui aussi des jours meilleurs.
Bien qu’amoureux de sa passion impossible, il n’en demeure pas un homme, avec ses envies, ses pulsions, ses fantasmes, ses désirs. C’est d’ailleurs pour cela qu’il fait son maximum pour éviter les contacts prolongés avec la gente féminine dans son travail, cela ne ferait qu’augmenter son sentiment de manque et surtout, cela risquerai de se voir, de se voir beaucoup même…
En effet comme dit plus haut, son couple n’est pas au beau fixe et les relations sexuelles avec sa femme sont épisodiques pour ne pas dire, rationnées…un comble pour ce passionné des femmes. Il adore donner du plaisir à une femme, prendre son temps, faire monter le désir en elle avant de l’achever par des orgasmes saisissants. Ces choses là lui manque et sa femme sait en profiter juste ce qu’il faut pour en tirer son propre plaisir, mais sans plus.
Cette frustration chez lui crée une situation de manque qui lui fait voir tout ce qui est féminin comme un bon morceau de viande à la manière des cartoons des Looney Toons.
Cela lui crée une situation assez ambigüe dans son esprit, et bien qu’il fasse preuve de beaucoup d’attention et de retenue vis à vis de Laura, il ne peut réprimer cette envie qu’il a d’elle.
D’aucuns diraient qu’il souhaite juste avoir un rapport avec elle, mais intérieurement c’est bien plus que cela, peut être cherche-t-il a avoir cet amour qui lui manque tant, cette passion qui brûle en lui et donner de l’amour en retour, sans calculs, sans retenue ; la submerger de sa passion juste l’espace d’un instant, sentir son coeur battre la chamade, le bruit de sa respiration, des mots interdits, ce danger infini…
C’est vrai que tout cela est invraisemblable et que rien ne devrait se passer, il n’empêche qu’il fait tout pour éviter d’y penser trop longtemps.
Un jour pourtant, il arriva peut être ce qui devait arriver, malgré les apparences, Fabrice ne laissait pas Laura indifférente (fallait bien qu’il y ai une réciprocité), il avait « son » charme, pas très beau, pas très gros, pas très intelligent, pas très tout lol.
Un jour donc au cours d’une sortie prévue pour toute la journée, une manifestation à Deshaies, un problème survenu et fit que cette journée finalement était vacante (ps: je sais que l’intro est space, mais pas évident de trouver une occasion précise).
Qu’a cela ne tienne, Fabrice et Laura avaient là l’occasion de rentrer chez eux plus tôt que prévu, Ils s’étaient déplacés avec la voiture de Fabrice car plus puissante selon certains dires… (clim bi-zone…)
Une fois tout rangé (quelques prospectus et affiches), ils décidèrent d’aller faire un tour, ce fameux kidnapping tant conté se matérialisait enfin. Les voilà parti en mode excursion en côte sous le vent, ils s’arrêtèrent près d’une plage pour l’occasion totalement abandonnée.
Pas un chat à l’horizon, Fabrice proposa alors à Laura une petite baignade. Laura argua qu’elle n’avait pas de maillot de bain, et qu’en plus la baignade et elle ça faisait 2. Fabrice trouvait un argument pour chaque excuse « bidon » de Laura . Etrangement malgré toutes les apparences et ses convictions originelles l’idée ne la dérangeait pas trop, elle était avec quelqu’un de confiance, qui ne la jugerai pas, et qui souhaitait partager un moment avec elle malgré leurs pudeurs évidente.
Laura se laissa finalement convaincre et à leur grand étonnement à tous les 2, ils se déshabillèrent et se retrouvèrent dans l’eau. Elle avait des sous vêtement bleus assez sexy, qui ne laissaient pas Fabrice indifférent. Il ne manqua pas de lui faire la remarque « tu es splendide !!! ». Laura lui répondit « ne te rince pas trop les yeux bon, je ne sais même pas ce que je fais là». Fabrice lui avait juste un caleçon bleu à carreau.
Une eau qui n’était ni froide ni chaude, et Laura était un peu craintive du fait qu’elle ne sache pas nager, Fabrice la rassura en s’approchant d’elle et lui disant qu’elle n’avait rien à craindre, et là il se mis derrière elle et la serra dans ses bras.
Fabrice : On est bien là !
Laura : En effet, dit-elle en s’agrippant à lui.
Fabrice ne pu se retenir de lui faire un baiser dans le cou, tout tendre, tout doux empli de chaleur.
Baiser qui fut accueilli avec surprise et étonnement mais qui fut tout de même apprécié.
Fabrice desserra sont étreinte et commença à lui caresser le corps doucement.
Laura : Tu en profite là,
Fabrice : ta peau est si douce, j’avoue que c’est dur de résister,
Laura se tourna et l’embrassa langoureusement, Fabrice ne pu se résoudre à répondre de façon aussi virulente. Ils se caressaient dans l’eau tout en s’embrassant, le plus long baiser du monde.
Elle se retourna complètement pour être plus à l’aise, ils se regardaient ds les yeux, débordant de désir. Elle se suspendit à son cou et l’encapsula avec ses jambes. Ils étaient collés l’un à l’autre.
Elle lui prit la tête pour l’embrasser et senti le « désir » de Fabrice durcir de plus en plus. Il la tenait par les fesses et n’avait qu’une envie, sentir sa chaleur interne. Il écarta sa culotte, sorti son outil quand soudain, des 2 touristes arrivèrent d’on ne sait où, Fabrice tourna la tête et fit mine de s’amuser avec Laura dans l’eau.
Laura quand à elle était bouillonnante prête et totalement ouverte, quelque peu contrariée par cette arrivée soudaine, elle se ravisa. Fabrice lui proposa d’aller ailleurs, avec une petite idée en tête, un endroit tranquille et très confortable l’espace d’une partie de la journée. Il décida de louer un pti bungalow, là il pourrait se consacrer totalement au plaisir de Laura
Ils durent attendre un moment avant de sortir de l’eau tant Fabrice était « tendu ». Laura n’arrangeait rien en saisissant Fabrice par son extrémité et en le caressant doucement.
Fabrice la supplia d’arrêter afin qu’ils puissent sortir de l’eau. Elle était très coquine et taquine pour le coup. Elle se surprenait elle même. Elle semblait libre et totalement détendue.
L’espace d’une courte journée elle souhaitait profiter de cet homme, se laisser aller à ses envies les plus insoupçonnées, assouvir ses désirs profonds avec quelqu’un en qui elle avait confiance.
Enfin ils sortirent de l’eau en aillant prit soin d’attendre que les gens se soient décidé à s’éloigner. Fabrice se précipita sur son téléphone afin de regarder ce qu’il y avait de disponible dans les parages, pendant se temps Laura s’empressait de se rhabiller. Fabrice passa quelques coups de fil et tomba enfin sur quelque chose de disponible jusqu’à 17h. Il tomba sur un propriétaire compréhensif.
Fabrice : Bonjour, je souhaiterai savoir si vous avez un logement disponible juste pour l’après midi. Je paierai la journée s’il le faut si vous voyez ce que je veux dire….
Le propriétaire : Actuellement j’ai 1 bungalow de disponible, les autres sont en travaux. Je ne profiterai pas de la situation et vous ferai payer uniquement l’après midi. Le tarif est de 50€.
Fabrice : Je viens avec ma femme, nous souhaitons un peu de calme et de discrétion le temps d’un après midi, trouverons-nous cela chez vous ?
Le propriétaire (pas dupe pour un sous, on pouvait deviner son sourire malicieux à des kilomètres) : Evidement, je peux vous l’assurer.
Après s’être accordé sur l’itinéraire à suivre pour y parvenir et la « procédure » de discrétion, ils embarquèrent dans la voiture non sans avoir fait un scan des lieux pour voir si quelqu’un les avaient vu, ou chercher un véhicule familier. Le coeur de Laura battait la chamade
Laura : C’est de la folie !
Fabrice : Je sais, mais j’ai vraiment envie d’aller jusqu’au bout.
Laura : Moi aussi, mais j’ai peur.
Fabrice : ça va aller t’inquiète. J’ai vraiment envie de passer un bon moment avec toi, on n’est pas obligé de faire quoi que ce soit.
Laura : Je sais, j’avoue que tout cela a un coté excitant que je n’ai pas l’habitude de vivre.
Fabrice : ne t’inquiète pas, je ne ferai rien qui ira à l’encontre de ta volonté, je veux juste passer un moment différent, nouveau, mémorable.
Laura : Partons d’ici, on verra sur place.
Fabrice : Ok !
Ils partirent aussi discrètement qu’ils étaient arrivés. Le plus important en ce moment était vraiment la discrétion. Les risques pris étaient au delà de l’imaginable pour eux et ce sentiment de vie intense l’emportait sur tout à ce moment là. Tous leurs sens étaient en éveil. Fabrice se saisi de la main de Laura et la caressait doucement avec le pouce. Laura se laissait faire, ce n’était pas désagréable, sa main était particulièrement chaude, comme en fusion malgré le fait qu’ils soient sortis de l’eau récemment.
Pour aller à l’endroit choisi, il fallait quitter la nationale et emprunter un petit chemin et rouler pendant 5 minutes et prendre un chemin de terre.
Ils arrivèrent à destination, l’endroit était pittoresque, très arboré et verdoyant, on entendait le son d’une végétation inhabituelle pour des grand-terriens. Là une grande barrière automatique coulissante marron couleur bois s’ouvrit et le véhicule s’engouffra sans tarder dans l’allée en béton avec un espace au milieu pour laisser passer l’herbe coupée court.
Fabrice gara la voiture dans le mini parking, il n’y avait personne. Il sorta du véhicule et fût accueilli par le propriétaire très enthousiaste à l’idée de se faire un peu d’argent pour la journée. Ils avaient déjà parlé et il ne restait plus qu’à payer. Laura resta dans la voiture en attendant et une fois le que la voie fût libre Fabrice lui fit signe de venir.
Ils se dirigèrent vers le petit bungalow assez éloigné de la résidence principale du propriétaire qui vaquait à ses occupations.
Laura : Tu es vraiment fou toi.
Fabrice : N’importe quoi, nous sommes fous tous les 2.
Fabrice ferma la porte à double tour.
Fabrice : à nous 2 maintenant !!
Il s’approcha de Laura qui n’eu même pas le temps d’en placer une et l’embrassa goulument, sa façon d’embrasser respirait le désir, Laura semblait débordée, autant de baiser salés, très salés même. Fabrice l’entraîna dans la douche tout en la déshabillant.
Elle était très excitante toute nue, Fabrice prit une seconde afin de bien la contempler. Il fit couler l’eau afin de trouver la bonne température et ils rentrèrent dans la douche tous les 2. Tout n’était qu’échange de baisers et caresses appuyées, puis Fabrice se mis à genoux afin de gouter son bouton d’amour tout en tenant ses fesses fermement. Laura fut quelque peu gêné peut être le manque d’habitude.
Fabrice lui donne des coups de langue passionnés, Laura est surprise par tant de fougue, en plus il est à l’écoute des moindres spasmes, des moindres soubresauts, du moindre changement de rythme dans sa respiration, tous ces éléments lui donnent des indications sur la marche à suivre et il se retrouve bientôt près du but, elle lui tient la tête et puis elle appuie plus fort et se met à trembler tout en lâchant un petit cris.
Fabrice remonte lentement en prenant le temps d’embrasser tout ce qui est à sa portée avant d’arriver à sa bouche. Il est chaud bouillant et elle le sent immédiatement lorsqu’il se redresse collé à elle.
A son tour maintenant, elle se saisi de son « désir » à pleine main et commence à effectuer des mouvements d’aspiration frénétiques qui transportèrent Fabrice dans un autre monde. Il était là tendu au maximum, tentant de s’accrocher à quelque chose, pas d’accoudoir, pas de rideaux de douche, juste du carrelage sur le mur froid, ce qui avait le dont d’amuser Laura qui s’en donnait à coeur joie.
Elle semblait s’en amuser, elle sentait le sang circuler le long de sa virilité. Il se détendait peu à peu et se laissait aller enfin.
L’espace d’un moment, d’un après midi, il était lui même, il se sentait important, quelqu’un avait décidé de lui donner du plaisir rien qu’à lui. Cette personne voulait simplement qu’il se sente mieux dans sa peau et elle aussi y prenait du plaisir bizarrement.
Elle se redressa, et Fabrice n’en pouvait plus, il la prise dans la position du loup. Il se plaça derrière elle et la pénétra doucement, il lui caressait les seins tendrement, il tenait vraiment à ce qu’elle prenne du plaisir, elle l’accueilli sans problème tant elle était mouillée et se mis à gémir et commençait à apprécier cette pénétration lente mais profonde.
Il n’était pas obsédé par la performance, il était juste à l’écoute, lui embrassait le cou, elle était cajolée chouchoutée, choyée, écoutée, elle se sentait de mieux en mieux. Elle pouvait faire ce qu’elle voulait vraiment, ils s’appartenaient l’un l’autre le temps d’un moment de vie.
Le lit les narguait et réclamait leur présence, ils se dirigèrent comme des enfants sur le lit et se mirent à s’embrasser encore et encore. Fabrice s’allongea sur le dos et Laura s’empressa de venir s’empaler sur lui.
Elle appréciait cette passion qui émanait de ce pti gars, et ne pu s’empêcher de chercher à comprendre ce qui empêchait sa moitié d’en profiter, après tout, il avait des qualités malgré tout et les erreurs sont faites pour être pardonnées. L’amour est censé s’occuper du reste.
Mais il est des choses que certaines personnes ne peuvent pardonner parce que leur être n’est peut être pas prêt à cela. La vie est faite pour corriger nos défauts sinon quel sens aurait elle ???
Bref après cette petite pensée qui dura une fraction de seconde, mais une éternité pour une femme comme elle, il était temps de se reconcentrer sur cet objet de désir qui lui procurait de plus en plus de plaisir.
Un plaisir coupable parce qu’elle ne devrait pas se retrouver en pareille situation tout était fait pour que cela arrive, un moment de distraction durant lequel elle se sentait désirée par quelqu’un en qui elle avait entière confiance l’emportait sur tout à ce moment précis.
Ils s’appartenaient et se laissaient aller vraiment à leurs désirs les plus fous, et madame avait de l’imagination autant que Fabrice avait de la ressource.
Elle eu plusieurs orgasmes qui étaient de plus en plus intense, au point qu’elle sortie épuisée de tant d’ébats.
Après 2 bonnes heures d’ébats (ça aurait pu durer plus mais le temps est compté mine de rien), il prirent une petite demie heure pour se reposer un peu, couchés sur le dos, collé l’un à l’autre, il profitaient de ces derniers instants complices officieux, interdits.
Elle avait découvert une facette de la personnalité de Fabrice qu’elle n’aurait même pas imaginée qui correspondait vraiment à l’adage qui dit « méfiez vous de l’eau qui dort ».
Tout un tas de sensations l’envahissait tandis que Fabrice la caressait du bout des doigts. Il fût alors temps de partir non pas sans un passage sous la douche encore qui permit d’effacer les traces… un peu de parfum et hop Laura était opérationnelle.
Fabrice aussi avait son déodorant et de la crème dans sa voiture. Tout était sous contrôle. Le temps de contrôler les téléphones, « pas d’appels », d’accorder les violons, ils étaient prêt à prendre la route. Fabrice devait la déposer au bureau afin qu’elle récupère sa voiture.
Pendant le voyage de retour, Fabrice s’exprima sur cette folie.
Fabrice : j’ai passé un moment mémorable, woaw. Je sais qu’il ne devra pas se répéter et je tenais à te remercier pour ce que tu m’as apporté aujourd’hui. Si tu en ressens le besoin un jour, je serai là. Tu seras mon exception.
Laura : Moi aussi j’ai beaucoup apprécié et je ne sais pas si nous aurons l’opportunité de nous retrouver dans pareille situation, je crois bien que tu seras la mienne aussi.
Depuis ce jour, leur complicité était plus prononcée et leur secret très bien gardé. Ils s’efforçaient tout de même à ne rien laisser transparaitre, mis à part quelques regards complices lorsqu’ils se retrouvaient seuls. Quelques occasions insolites se présentèrent et ils en profitèrent pour faire le plein de confiance….